[KEMBRE] La nation sœur galloise voit se former un clivage majeur en faveur de l’indépendance des nouvelles générations.
C’est selon un récent sondage réalisé par Redfield et Wilton Strategies qui a révélé que 55% des Gallois âgés de 18 à 24 ans soutiennent l’indépendance.
🚨 RUPTURE 🚨
55 % des 18-24 ans voteraient « Oui » à un référendum sur l’indépendance galloise demain. pic.twitter.com/lYEpOP6F6l
— YesCymru 🏴 (@YesCymru) 19 juillet 2023
Ce chiffre monte à 52% chez les 25-34 ans, signe d’une puissante solidification du sentiment national gallois.
🚨 RUPTURE 🚨
55 % des 18-24 ans voteraient « Oui » à un référendum sur l’indépendance galloise demain. pic.twitter.com/lYEpOP6F6l
— YesCymru 🏴 (@YesCymru) 19 juillet 2023
Ce puissant basculement fondamental est générationnel, entraînant mécaniquement une montée en puissance du sentiment d’indépendance. La majorité des 35-44 ans est contre l’indépendance à 55%, ce chiffre monte à 66% chez les 45-54 ans, 55% chez les 55-64 ans et 70% chez les 65 ans et plus.
Les séparatistes gallois soutiennent que ce développement se produit sans même qu’un débat sur l’autodétermination du Pays de Galles ait eu lieu.
En Bretagne, la question de l’indépendance nationale doit devenir, comme au Pays de Galles, la principale question politique car elle constitue à elle seule une véritable alternative à la l’état dans lequel aujourd’hui représentée par l’occupation française. Seul un État breton pourra mener les politiques dont la Bretagne a besoin au XXIe siècle, que ce soit dans le domaine régalien (sécurité, immigration), social (émigration, natalité, éducation, santé, logement), économique (fiscalité, formation ), énergétique ou culturel (langue).
Cette rupture est exposée dans le Manifeste de Parti national bretonainsi que dans sa programme d’action. Organiser la nation bretonne en vue de cette rupture est l’enjeu majeur de la décennie en cours et de la suivante.

