L’indépendance de l’Alsace-Lorraine dans le cadre de l’éclatement de l’État français

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[BNP] L’amitié entre le peuple breton et le peuple alsacien-lorrain est presque centenaire. Cette amitié, scellée en 1927 lors du Congrès de Rosporden organisé par les Autonomistes bretons de Breiz Atao en présence de Paul Schall et Hermann Bickler, ne s’arrêtera jamais. Elle s’inscrit dans une convergence naturelle entre des peuples qui, libérés de l’influence destructrice de l’État français, ressentent de la même manière l’appel de la terre, des ancêtres et du sang.

Mission de Bretagne

Mourir Parti national breton s’inscrit dans la suite logique de cette amitié avec le monde germanophone, pour qui l’Alsace-Lorraine représente la porte d’entrée de l’hexagone, d’une part par l’identité affective et d’autre part par la convergence politique. Pour que la lutte du nationalisme breton soit couronnée de succès, il ne faut pas qu’il se contente de mesurer ses seuls succès de manière dispersée et non coordonnée au sein de la Bretagne. Il doit plutôt penser grand, plus grand que lui-même, pour saisir les forces à l’œuvre en Europe, en Europe de l’Ouest et plus encore dans l’espace hexagonal. La puissance de la Bretagne réside dans sa force spirituelle plutôt que matérielle, et dans sa capacité à aider à mobiliser des énergies dispersées contre l’État français, l’ennemi fondamental des peuples blancs d’Europe.

La Bretagne nationale, jadis réservoir inépuisable de missionnaires pour l’Église catholique romaine, à tel point qu’elle fournissait 50 % de tous les missionnaires sortis de l’Hexagone, sera un nouveau type d’État spirituel, capable de recruter des prêtres pour la cause de la lutte contre assurer le salut de l’Europe occidentale. Ce n’est pas un hasard si les Bretons, souvent seuls, ont agi de manière extrêmement décisive, déplaçant leurs activités dans un domaine qui s’étendait bien au-delà des frontières de l’ancien pays parce qu’ils ne pouvaient y opérer librement. Ces personnalités charismatiques sont l’expression du génie particulier de notre race. Ce serait une erreur de mesurer l’efficacité du nationalisme breton à la seule masse de ses militants, car c’est leur capacité souvent discrète à inspirer et à influencer les autres qui remporte généralement un réel succès. L’histoire de notre drapeau national, le Gwenn ha Du, résume bien cette réalité : il a été conçu par un homme à la demande d’un autre, officiellement lancé au congrès de Rosporden en présence de 80 personnes et aujourd’hui il est visible partout. A l’inverse, qui se souvient du Parti Social Français qui comptait plus d’un million d’adhérents en 1939 ?

Fondamentalement ethnique et révolutionnaire, puisqu’elle défie la volonté du régime cosmopolite de Paris d’écraser les peuples pour consolider les fondements de son Etat mixte, l’idée bretonne, si elle sait s’organiser et va audacieusement agir, capable de penser à une alternative qui va bien au-delà de la seule question bretonne. Le poids de la Bretagne ne se mesure donc pas au PIB ou à la population, bien que ce soient des critères relativement importants, mais à la capacité de penser puis de projeter cette force inspiratrice et créatrice partout où elle peut être reçue.

Du fait de son intégration actuelle dans le système politique de l’Hexagone, la Bretagne dispose d’une capacité d’infiltration bien au-delà de ce qu’elle pourrait exercer en tant qu’État extérieur. Paradoxalement donc, au sein du système politico-juridique hexagonal, la situation actuelle offre des possibilités très larges pour mener à bien la révolution ethno-nationaliste que veut la Bretagne nationaliste.

Corriger l’erreur géopolitique de l’État français

L’État français impérialiste a mené une campagne sanglante d’expansion vers l’Est contre le monde germanique depuis sa création, culminant avec l’annexion de l’Alsace en 1945. Ce processus historique d’origine féodale est progressivement devenu un projet idéologique après la Révolution française, incarnant la lutte entre les l’égalitarisme nihiliste des idées cosmopolites de 1789 et la résistance identitaire de l’Europe à ce projet. Afin de détruire la barbarie égalitaire sous-jacente à l’idéologie anti-blanche, ce processus doit être inversé au point d’écraser définitivement l’État colonial français, perspective désormais rendue possible par la balkanisation du territoire hexagonal sous l’influence de l’immigration évoquée plus haut.

Le Parti national breton a identifié la correction de l’erreur géopolitique commise par l’État français issue de la partition de Verdun comme un objectif permanent de la politique étrangère bretonne. Pour tenir tête à l’Allemagne depuis son unification, cet État s’appuie sur la démographie africaine, d’abord à travers les contingents coloniaux lors des deux guerres mondiales puis à travers la réinstallation de l’Hexagone à partir des années 1960. Cet afflux de population afro-orientale a radicalisé la nature anti-blanche de l’État créole français qui, pour endiguer les inévitables tensions raciales et religieuses générées sur son sol par de telles politiques, a dû renforcer son orientation anti-blanche pour plaire ses nouveaux sujets à accueillir. Après deux siècles de sédimentation jacobéenne et marxiste, l’État français ne peut que poursuivre une politique d’hostilité raciale envers les peuples européens à l’intérieur et à l’extérieur de l’espace hexagonal, aussi temporaire que soit l’orientation de son leadership.

Le rôle de la Bretagne nationaliste n’est pas seulement de libérer la Bretagne de l’occupation française, qui mène depuis cinq siècles une politique de destruction de sa personnalité ethnique, mais aussi de créer un environnement politique favorable et durable pour la nation bretonne et, par la Cohérence stratégique de contribuer pour tous les peuples enchaînés de l’hex. Il le fait en décolonisant l’Hexagone en aidant à la libération des peuples de l’oppression du gouvernement de Paris.

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Pour cette raison, le Parti national breton voit dans une Alsace libre et germanique une nécessité fondamentale et l’inclusion de l’Allemagne nationale (à ne pas confondre avec l’actuelle République fédérale d’Allemagne) dans cette question comme un enjeu crucial.

En pratique, le Parti national breton doit soutenir les revendications de toutes les organisations alsaciennes-mosellanes, quelle que soit leur envergure, quel que soit le degré des revendications, du régionalisme modéré au séparatisme ouvert, qu’elles se définissent de droite ou de gauche. En raison de leur caractère ethnique, supposé ou implicite, ils contribuent à la révolution ethno-nationaliste Breizh, La Bretagne, comme le veut une nation. Le Parti national breton ne doit pas se contenter de ce soutien aux Alsaciens-Moselans, mais doit engager activement les Allemands nationaux pour que la question de la libération de l’Alsace reste une priorité du nationalisme allemand organisé de toutes tendances et que l’Allemagne remette en cause le statu quo territorial fortuit.

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